|
Cymbaline (Japonais : 銅拍子 Dōbyōshi) est un Yo-kai Classique de Rang B d'attribut de Restauration de la tribu des Mignons.
Dans Yo-kai Watch : Wibble Wobble, elle est de Rang A.
Apparence[]
Cymbaline a l'apparence d'une jeune fille qui flotte à quelques centimètres du sol. Elle a une peau pâle, des cheveux blancs au carré avec une frange et une queue de cheval. Elle porte un kimono rose pâle sur un kimono bleu ciel avec un obi gris et des sandales zori noires avec des bretelles rouges. Elle fait flotter au-dessus de des mains un long parchemin bleu. Elle a de grands yeux aux iris noires et deux cymbales dorées ornées de rubans rouges.
Localisation[]
Yo-kai Watch 3 :[]
- Ourcival - tombes
- Mont de l'Ours
Yo-kai Watch : Puni Puni :[]
Attaques[]
⠀Attaque
⠀Gifle
– – – – – – – – – – – – – ⠀Puissance⠀ 30|105 |
⠀Technique
|
⠀Amultime
|
⠀Envoûtement
|
Entre en garde après avoir utilisé une technique.
Étymologie[]
Cymbaline vient des Cymbales (instrument de musique) et du prénom Line.
Origine[]
Cymbaline est inspirée du dōbyōshi-nyōbo (銅拍子女房, « dame dōbyōshi »), l’un des nombreux tsukumogami (objet yokai) figurant dans les rouleaux d’images de Hyakki Yagyō, né d’une paire de dōbyōshi (également appelés chappa ou tingsha), cymbales en cuivre utilisées à l’origine dans les rituels bouddhistes, puis comme accompagnement musical dans les pièces de kabuki. Ce yokai apparaît comme une vieille sorcière sortant de l’instrument, portant un rouleau de sutra dans ses mains. Le son de ses cymbales maudira les gens et les forcera à danser jusqu’à ce qu’ils tombent épuisés.
Les « chants obscurs » mentionnés dans sa description sont en fait des sutras, des textes canoniques bouddhistes utilisés dans les rituels et les prières. Ils sont en particulier une partie importante des rites funéraires du bouddhisme japonais, c’est pourquoi ils sont récités pour les esprits agités afin de les aider à atteindre l’au-delà. D’où la blague récurrente dans la culture populaire selon laquelle les yokai et les fantômes disparaissent presque entièrement lorsqu’ils entendent quelqu’un chanter un sutra.